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INTERVIEWS

28/04/10

DISHONEST LIFE

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RN'G : Bonsoir ! Vous allez bien ?
Dishonest Life :
Salut. Ben, ça va toujours!

Rn'G : le concert est terminé. Vous vous sentez comment, ça s'est bien passé, pour vous ?
D.L. :
Ouais, nickel. Bon retour, vraiment un bon son.

Rn'G : Et le public ?
D.L. :
Assez cool. Y'avait pas des masses de monde, mais c'était sympa. On avait quelques potes qui bougeaient bien, et qui faisaient bouger les autres gens.

Rn'G : Vous avez déjà quelques affinités avec l'Entrepôt ? Vous avez déjà joué ici ?
D.L. :
Oui, on nous a contactés en mai dernier, pour jouer avec The Arrs. Puis on a fait une démarche avec Losange, pour répéter ici, dans ce local.

Rn'G : Ok… Donc le local, où nous sommes en train de faire cette interview, c'était votre local de répète ! Ce n'est plus le cas maintenant ?
D.L :
Non. Ça ne nous apportait pas des masses, à part le fait que l'ingé son venait nous aider, nous dire quelques trucs.

Rn'G : Vous avez commencé à jouer il y a longtemps ?
D.L. :
Un an et demi. C'était pendant les grandes vacances. De l'année d'avant.

Rn'G : D'où est venue l'idée, vous étiez une bande de potes musiciens, ou bien il y en a certains qui ont appris leur instrument en même temps que la formation du groupe ?
D.L. :
On était plus une bande de potes qui aimait la même musique. On a demandé au batteur, qui ne jouait pas depuis longtemps mais qui s'y est vite mis, et ça a bien donné. On a commencé par reprendre des autres chansons, et puis on a commencé à faire nos propres compos, et maintenant on fait quelques concerts dans la région. Les concerts, ça a commencé en avril dernier. Juste le bassiste qui est venu après, aussi.

Rn'G : Vous dites que c'est la même musique qui vous a réuni. Donc quelles sont vos influences, les groupes qui vous passionnaient, en tout cas à vos débuts ?
D.L. :
On a commencé par le metal, metalcore. Genre Parkway Drive, Heaven Shall Burn, puis on s'est retranché maintenant vers le hardcore, genre Hatebreed, Alea Jacta Est de Toulouse, ou Venia, des USA. En avançant, on s'oriente plutôt vers le hardcore. On est passé HxC. Les deux nouvelles qu'on est en train de faire, c'est beaucoup plus Bob l'Eponge et tout ça (rires).

Rn'G : Donc ça vous plait plus ?
D.L. :
Ouais, et puis nos potes aussi, qui aiment mieux ça.

Rn'G : Le nom du groupe est un petit peu une prise de position, il y a une opinion, dedans. D'où vient-il ?
D.L. :
On cherchait un nom tous ensemble, puis le batteur a trouvé « Dishonest Life », ça vient d'une chanson d'un groupe de hardcore des Etats-Unis.

Rn'G : Il y a une idée, derrière, la vie est malhonnête ?
D.L. :
Oui, les gens se positionnent pas vraiment sur les idées

Rn'G : De l'hypocrisie ?
D.L. :
Ouais, voilà. Genre, en politique, il y a Van Rompuy qui est passé à l'Europe. Il y a des gens qui disent que c'est bien. Pourtant, c'est pas vraiment bien, parce qu'on choppe un autre premier ministre qui est pas super. Chacun ses opinions, et c'est personnel, mais le premier ministre qu'il y a maintenant a déjà eu sa chance, et ne devrait pas l'avoir à nouveau.

Rn'G : Est-ce que ce genre de positions se retrouvent également dans vos textes ?
D.L. :
On parle pas que de haine, mais de la société, des gens, de l'hypocrisie. Donc un peu quand même. On en tient compte.

Rn'G : Ce soir, c'était une carte blanche à Tess. Comment s'est passé votre programmation ?
D.L. :
Ils ont demandé à un autre groupe, qui est Grey Skies Falling et qui joue maintenant, avec qui on s'entend bien. On est des amis, on leur propose de jouer avec nous quand on en a l'occasion, et vice-versa. Donc c'est grâce à Tess et au Grey Skies Falling qu'on a joué ce soir.

Rn'G. : Mais vous allez encore jouer avec Tess dans quelques temps, je me trompe pas ?
D.L. :
Non, non. C'est encore Grey Skies Falling qui les ont invité, et nous également. On est proches, on collabore souvent ensemble.

Rn'G : On parle de date, justement, quand est-ce qu'on pourra vous revoir ?
D.L. :
On joue le 19 décembre au Tonneau d'Or, un café en face de la gare. C'est avec Alpha, un collectif d'Arlon qui fait jouer des groupes d'Arlon. Plein de groupes, ça peut être rock, comme harcore, ou punk, aussi. L'entrée est gratuite.

Rn'G : Bon tuyau en tout cas. Dernière question : est-ce que vous avez des ambitions, des rêves à travers ce que vous faites actuellement.

D.L. :
On en a déjà parlé avec le groupe. C'est jouer à des festivals de hardcore, se faire un peu plus connaître, sans pour autant être pros. Mais jouer avec plus de gens, plus de public, parce que là on passe souvent en premier…

Rn'G : C'est les débuts, aussi. Votre cinquième concert…
D.L. :
Oui, c'est pour ça qu'on s'est inscris au collectif, pour trouver des dates. Avec Sébastien Thielgen, qui s'occupe un peu de tout ça, on essaye de monter des événements… Et pourquoi pas, un peu plus tard, jouer à l'étranger… Il y a une idée comme quoi on pourrait jouer en Hollande.

Rn'G : Vous avez l'air d'apprécier les connections, c'est vraiment ce qui peut amener ce genre de plan.
D.L. :
Carrément. Et puis on est pas du tout fermé au style qu'on fait, on aime le rock, d'autres styles, donc on peut voir les autres et s'encourager.

Rn'G : Encore une : pourquoi avoir choisi le hardcore ?
D.L.
: C'est un peu la violence. Ça donne envie de bouger. Et quand j'écoute ça, j'ai envie de… Allez, je vais pas dire frapper des gens parce que c'est un peu violent, mais de bouger de mosher, de se défouler, de laisser passer son énergie. Il y a une certaine rébellion derrière ça, ça reflète la société, les gens, tout ça. Et puis ça fait de bien de faire passer un message aussi. Même si le chanteur hule et qu'on entend pas directement ce qu'il veut dire, quand on analyse les paroles… On est fan de Tagada Jones, et on n'entend pas forcément ce qu'ils veulent dire, mais ils ont un bon message.

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Post? par Nicolas

FOCUS:

Dishonest Life est d'abord un projet de trois potes : Jérôme, Julien et Matthieu. Ils sont ensuite rejoints par Dylan et Mo pour compléter le groupe en Septembre 2008. Ils se (…)

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